Tomi, reviens vite... extrait 13
« Puisque chaque personne est bien seule, disait Alexanjro, il est évident que nous ne pouvons rien savoir des êtres que nous aimons ni des êtres que nous n'aimons pas. Il n'y a pas plus de rapport entre leur nom et les sentiments qu'ils nous inspirent. Chaque personne est un mot d'une langue étrangère que nous ignorons et qu'il nous est impossible d'apprendre. Qu'importent dès lors ses qualités, ses défauts, son caractère, son âge, son sexe ? » (p. 33)