Charley, le chien mascotte de la « Chinaille »
« Ce chien était vraiment la mascotte de tout l’immeuble. Une fois sortie de son appartement, sa maîtresse le lâchait dans la rue où il se promenait tranquillement, venant saluer tel ou tel passant. Chez elle, Charley vivait heureux, loin de tout espace asphyxiant comme celui d'une cloche de verre où le besoin d’amour ne peut se faire entendre. Jamais il ne fut relégué au bout d’une chaîne, ce qui l’aurait peut-être conduit à mordre et à mériter injustement un isolement. Qu’il était beau. Il méritait bien l’admiration de tous. » (p. 17)